La forteresse celtique de «Beddelsteen» Point de vue BEDDELSTEEN

La fortification celtique du «Beddelsteen» Cet éperon fortifié fait partie de la quarantaine de fortifications protohistoriques du pays. Les origines de ces sites remontent souvent à l’Âge du Bronze ou aux premiers temps de l’Âge du Fer. Le site fortifié du «Beddelsteen» date probablement du début de l’époque de La Tène (Ve-IVe siècle avt. J.C.). L’entrée de cette fortification se situait sur le flanc méridional, à l’endroit où un petit rempart de contour butait contre le rempart de barrage. Un mur de rive sécurise également le flanc. Les vestiges du mur défensif protègent une zone intérieure d’environ 1,5 hectare, qui descend vers le centre du village actuel. La face, tournée vers le Plateau du Grès luxembourgeois, est protégée par un double rempart. Une tranchée peu profonde et un rempart peu élevé forment la première ligne de défense devant une seconde tranchée plus profonde et un rempart principal parallèle au premier. Il faut imaginer cette fortification comme un mur massif en pierres sèches, surmonté d’une palissade en bois. La fortification celtique du “Beddelsteen » Cet éperon fortifié fait partie de la quarantaine de fortifications protohistoriques du pays. Les origines de ces sites remontent souvent à l’Âge du Bronze ou aux premiers temps de l’Âge du Fer. Le site fortifié du „Beddelsteen“ date probablement du début de l’époque de La Tène (Ve-IVe siècle avant J.C.). L’entrée de cette fortification se situait sur le flanc méridional, à l’endroit où un petit rempart de contour butait contre le rempart de barrage. La surface interne de 1.5 ha est inclinée vers l’ouest. L’accès à partir du plateau du Grès de Luxembourg était défendu par un dispositif défensif, composé de deux fossés et de deux remparts parallèles. Ces remparts étaient construits en pierres sèches et surmontés d’une palissade en bois et pisé.
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